Une partie des (vrais) lauréats samedi soir à Angoulême. Photo Georges Gobet. AFP |
Il était dit que le 43e Festival international de la bande dessinée (FIBD) d’Angoulême n’échapperait pas à une énième polémique… Alors que des accusations de sexisme s’étaient concentrées autour de la manifestation après l’annonce, début janvier, d’une liste de 30 nominés tous masculins en vue de l’élection du grand prix (liste qui disparut finalement pour laisser la possibilité aux professionnels du secteur de voter pour qui ils voulaient), de nouveaux remous ont agité le milieu du 9e art, sur fond, cette fois, d’humour mal compris ou de mauvais goût, selon le camp où on se trouve.