Quand on lui demande quelle œuvre du passé il aurait aimé signer, le caricaturiste Angel Boligán répond sans hésiter Guernica.
Pour lui le dessin de presse est le meilleur moyen de saisir l’actualité même la plus tragique et surtout un moyen d’expression qui permet de déjouer toutes les censures.
Un entretien exclusif pour le FIDEP et Le Crayon.