Dans une interview après sa libération, Güzel a dit au journaliste Manuel Martorell de cuartopoder que la police anti-terroriste est arrivée mardi avec l'intention de confisquer les ordinateurs du journal et sont devenus violents quand ils ont réalisé qu'ils étaient filmés.
Les journalistes ont ensuite été battus et poussés en bas des escaliers. Les coups, Güzel dit, ont continués quand il étaient dans un véhicule de police. "Ils nous insultaient en criant:« Arméniens, Juifs, fils de Lénine; vous allez découvrir la force de l'État turc, "a raconté Güzel.
Les journalistes du Özgür Gündem, bien que libérés, font face à des accusations de « résistance, insulte et agression envers l'autorité.»
À sa libération, un porte-parole des journalistes a déclaré: : "Nous allons continuer notre travail. . . Nous allons nous battre pour une presse libre ".
Le diaporama de dessins en solidarité avec Dogan Güzel peut être vu ici.
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«Le dessinateur Dogan Güzel arrêté en Turquie» sur le site de Cartooning for Peace
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