jeudi 30 décembre 2021

Mes dessins en 2021 pour Francopresse

 Sur le site de Francopresse.


L’année 2021 a été marquée par de nombreuses «non-réalisations» pour la francophonie canadienne dont la modernisation de la Loi sur les langues officielles et l’atteinte des cibles en immigration francophone. 

Les 12 derniers mois ont aussi été marqués par le sous-financement des établissements postsecondaires francophones, des élections fédérales et, bien entendu, les hauts et les bas de la COVID-19. 

Retour sur l’année 2021 sous la plume de Bado.

Loi sur les langues officielles

La modernisation de la Loi sur les langues officielles se fait toujours attendre. 

En février 2021, la ministre des Langues officielles, Mélanie Joly, a déposé un document de réforme de la Loi sur les langues officielles

Quatre mois plus tard, en juin, elle dépose un projet de modernisation de la Loi qui est mort au feuilleton en aout lors du déclenchement des élections fédérales.


Sous-financement du postsecondaire en français

Au début février 2021, l’Université Laurentienne de Sudbury s’est placée sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC). 

Dans les semaines qui ont suivi, l’établissement a procédé à des coupes sauvages qui ont affecté essentiellement les programmes en français. 

Une situation jamais vue dans l’histoire du postsecondaire au Canada et qui a mis en lumière le sous-financement des établissements postsecondaires francophones au pays.


Les vagues de COVID-19

Au cours des 12 derniers mois, les vagues de COVID-19 ont déferlé partout au pays. 

Les élèves ont terminé leur année scolaire en mode virtuel, les Canadiens ont fait la file pour recevoir leurs deux premières doses du vaccin et les gouvernements ont jonglé avec l’imposition et la levée de règles sanitaires.



Élections fédérales 2021

À la mi-aout, le premier ministre Justin Trudeau a déclenché des élections

Son espoir de pouvoir décrocher une majorité au Parlement s’est traduit par une copie conforme, ou presque, de la représentation des partis depuis 2019.


L’année a aussi été marquée par la nomination controversée d’une nouvelle gouverneure générale, les agressions sexuelles dans l’armée canadienne, la modernisation de la Charte de la langue française au Québec, l’unilinguisme du PDG d’Air Canada, et bien d’autres choses.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire