Sur le site de La Presse.
Le bédéiste a confié à La Presse que ce livre « très personnel », qui raconte l’histoire lumineuse d’un garçon atteint de paralysie cérébrale et de sa famille, est « un peu à part » dans sa bibliographie alors que son œuvre n’est généralement pas portée vers l’autofiction.
« Ce prix me touche au cœur, vraiment, parce qu’il vient des libraires. Les libraires, c’est un peu la première ligne, ceux qui prennent les lecteurs par la main et qui les aiguillent vers la bonne nouvelle, vers la rumeur, vers des perles, des pépites », a affirmé M. Eid.
Initialement, je pensais que c’était une histoire qui aurait une portée presque confidentielle à cause du sujet. Je me disais que ça allait probablement toucher surtout les gens qui ont été exposés au handicap, alors que non, du tout, ça a rayonné de façon universelle ici comme à l’étranger ; j’ai reçu des montagnes de témoignages plus bouleversants les uns que les autres. Donc, que ça soit consacré par un prix des libraires, pour moi, c’est la concrétisation de tout ça.
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