Sur le site de Francopresse.
Un peu plus de trois décennies plus tard, Francopresse laisse sa marque aux quatre coins du pays, à travers les journaux membres de Réseau.Presse.
Sans l’objectif commun de pouvoir offrir une perspective nationale aux lecteurs des journaux locaux francophones, Francopresse n’existerait pas.
L’histoire commence en 1988 avec Yves Lusignan, le tout premier journaliste embauché par l’Association de la presse francophone (APF) qui a lancé le service de nouvelles à partir de zéro.
«J’avais un bureau, évidemment vide, un téléphone à brancher. Et ensuite, il a fallu débuter quelque part», se souvient celui qui a dû établir tous les contacts nécessaires pour faire connaitre ce nouveau service .
Pour Sylviane Lanthier, ancienne rédactrice en chef de La Liberté au Manitoba, l’apport de ce service était important pour le réseau.
«Évidemment, on trouvait ça important d’avoir un service de presse qui pouvait servir tous les Franco-Canadiens qui étaient dans tous les territoires et toutes les provinces qui pouvait acheminer de l’information, et faire des textes que les journalistes locaux ne pouvaient pas faire», indique celle qui fut également membre du conseil d’administration de l’APF.
Sans l’objectif commun de pouvoir offrir une perspective nationale aux lecteurs des journaux locaux francophones, Francopresse n’existerait pas.
L’histoire commence en 1988 avec Yves Lusignan, le tout premier journaliste embauché par l’Association de la presse francophone (APF) qui a lancé le service de nouvelles à partir de zéro.
«J’avais un bureau, évidemment vide, un téléphone à brancher. Et ensuite, il a fallu débuter quelque part», se souvient celui qui a dû établir tous les contacts nécessaires pour faire connaitre ce nouveau service .
Pour Sylviane Lanthier, ancienne rédactrice en chef de La Liberté au Manitoba, l’apport de ce service était important pour le réseau.
«Évidemment, on trouvait ça important d’avoir un service de presse qui pouvait servir tous les Franco-Canadiens qui étaient dans tous les territoires et toutes les provinces qui pouvait acheminer de l’information, et faire des textes que les journalistes locaux ne pouvaient pas faire», indique celle qui fut également membre du conseil d’administration de l’APF.
L’évolution technologique
Au cours des 35 dernières années, la technologie a transformé la transmission de l’information à tous les égards.
Du télécopieur au courrier électronique, les artisans de la presse écrite francophone ont dû adapter leurs méthodes de travail.
Marcia Enman, qui œuvre pour La Voix acadienne depuis 1978, se souvient de la machinerie qu’il fallait utiliser pour publier un journal à chaque semaine.
«Nous autres, on avait des grosses machines. Ça s’appelait des CompuGraph. C’était une grosse dactylo.
Beaucoup plus gros qu’un ordinateur. Il y avait des liquides dans ça. On tapait un texte et quand ça sortait, il fallait coller ça sur des pages de montage, etc.»
«Ensuite, est arrivé le miracle d’Internet», se souvient Yves Lusignan qui a travaillé au service de nouvelles de l’APF pendant près de quinze ans.
«Ensuite, est arrivé le miracle d’Internet», se souvient Yves Lusignan qui a travaillé au service de nouvelles de l’APF pendant près de quinze ans.
L’APF, se souvient-il, a été très rapide pour faciliter la connexion à Internet des journaux membres de son réseau.
«On était assez en avance pour ça, tellement que je me rappelle, qu’un journaliste de Radio-Canada à Ottawa était venu au bureau faire un reportage sur cette merveille qu’on appelait Internet», raconte Yves Lusignan avec le sourire.
Francopresse est né
Au fil du temps, le service de nouvelles de l’APF est devenu Francopresse.
«On était assez en avance pour ça, tellement que je me rappelle, qu’un journaliste de Radio-Canada à Ottawa était venu au bureau faire un reportage sur cette merveille qu’on appelait Internet», raconte Yves Lusignan avec le sourire.
Francopresse est né
Au fil du temps, le service de nouvelles de l’APF est devenu Francopresse.
En 2009, le premier site Francopresse.ca était mis en ligne pour diffuser ses contenus dans toute la francophonie canadienne.
Dans un souci de donner une plus grande visibilité aux nouvelles locales d’un peu partout au pays, Francopresse est aussi devenu une plateforme de diffusion des nouvelles produites dans les journaux membres de Réseau.Presse.
«Le fait de pouvoir avoir accès à Francopresse et avoir accès à des articles qui se consacrent à cette francophonie canadienne, c’est essentiel, c’est incontournable», estime Étienne Alary, directeur intérimaire du journal Le Franco, en Alberta.
Pour Odette Bussière, directrice du Goût de vivre, dans la région de Simcoe, en Ontario, Francopresse a contribué au rapprochement des francophonies au pays.
«Avec tout ce qui est couvert à partir de Francopresse, avec toute l’information qu’on peut obtenir, c’est comme si le pays n’est pas aussi grand qu’avant. […]
Dans un souci de donner une plus grande visibilité aux nouvelles locales d’un peu partout au pays, Francopresse est aussi devenu une plateforme de diffusion des nouvelles produites dans les journaux membres de Réseau.Presse.
«Le fait de pouvoir avoir accès à Francopresse et avoir accès à des articles qui se consacrent à cette francophonie canadienne, c’est essentiel, c’est incontournable», estime Étienne Alary, directeur intérimaire du journal Le Franco, en Alberta.
Pour Odette Bussière, directrice du Goût de vivre, dans la région de Simcoe, en Ontario, Francopresse a contribué au rapprochement des francophonies au pays.
«Avec tout ce qui est couvert à partir de Francopresse, avec toute l’information qu’on peut obtenir, c’est comme si le pays n’est pas aussi grand qu’avant. […]
On se rend compte que même si on ne vient pas nécessairement de la même province ou du même territoire, on finit par connaitre les francophones d’un bout à l’autre. Ça permet ces liens-là entre les diverses communautés.»
Aujourd’hui, Francopresse compte une équipe de journalistes solide, installée dans quatre provinces; une équipe engagée pour qui le journalisme de qualité est une priorité.Mon premier dessin pour Francopresse |
Je contribue un dessin hebdomadaire à Francopresse depuis mai 2016.
J'avais été approché par Adrien Cantin, rédacteur en chef à l'époque, et y prenais la succession du dessinateur Michel Lavigne.
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