Aujourd’hui, l’identité d’Angoulême se confond plus que jamais avec celle de son Festival international de la bande dessinée et réciproquement.
En désignant Angoulême comme membre de son réseau de « Villes créatives » au titre du 9è Art, l’UNESCO consacre 46 années d’engagement de la manifestation en faveur de la bande dessinée, engagement dont la ligne de valeur a toujours été de positionner le Festival dans le champ culturel et comme une forme d’expression artistique à part entière.
Cette nomination valorise également l’implication sans faille de tout un territoire, de ses habitants, de ses collectivités et de l’État, pour faire grandir ce Festival aux côtés de ses créateurs, l’Association du FIBD, et de ses organisateurs (9è Art+).
Un développement qui n’aura été possible que grâce à la créativité des autrices et auteurs, et la participation de leurs éditeurs.
Bien évidemment, c’est aussi tout l’écosystème de l’image, né avec le Festival et constitutif d’une véritable économie créative, qui participe de cette désignation de l’UNESCO : ses écoles, ses entreprises, ses institutions de toutes natures et notamment culturelles… ont toutes su apporter une contribution significative à cette réussite.
En se conjuguant à l’initiative du Ministre de la Culture qui a instauré « 2020 Année de la bande dessinée », année qui sera inaugurée lors de la prochaine édition de la manifestation, la décision de l’UNESCO contribue à générer une reconnaissance d’une ampleur inédite pour le 9è Art.
Le Festival aura à cœur de porter cette dynamique nouvelle.
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