Après une bataille de 21 ans devant les tribunaux, la Cour supérieure a estimé dans un jugement rendu lundi que l'intervention du tribunal n'était pas nécessaire dans le partage des droits entourant le personnage Caillou.
Elle a débouté Hélène Desputeaux dans sa demande de faire reconnaître qu'une entente conclue avec les Éditions Chouette et Christine L'Heureux prévalait sur la sentence arbitrale de 1997, confirmée par la Cour suprême.