Papiers Nickelés n° 60

Sur la page Facebook des Papiers Nickelés.

La revue trimestrielle Papiers Nickelés fête son quinzième anniversaire. Miraculeusement en vie après tout ce temps, elle fonctionne bien.

Le n° 60 qui vient de sortir a été entièrement relouqué par nos maquettistes (Daniel Chambard et Fouzia Chakour) et il sera encore amélioré dans les numéros suivants.

Il contient entre autres des articles sur le pionnier du roman graphique, Balthus ;

sur les éditions Pauvert et ses « livres sans paroles » ; sur ‘’Les fleurs animées’’ de Grandville ; 

sur Carlo Rim dessinateur ; 

M. Gaston Picard voudrait qu'on envoyât à l'Elysée un Président ami des lettres, sinon un écrivain. Pourquoi ne pas constituer tout de suite (c'est le moment) un ministère de « concentration littéraire » ? Voici donc, rassemblé autour de M Doumergue, le premier ministère des lettres. On reconnaît de droite à gauche : M. Clément Vautel, garde des Sceaux ; M. André Gide, président du Conseil sans portefeuille ; M Francis Carco, ministre de l'Intérieur ; M. Dorgelès, ministre de la Guerre (la dernière) ; M. Mac Orlan, sous-secrétaire d'Etat des P. P. T. (Phonographe, Photographie, Télévision) ; M. Abel Hermant, ministre de l'Instruction publique ; M. Dekobra, ministre du Commerce ; M. Francis Jammes, ministre de l'Agriculture ; M. Jean Cocteau, ministre de la Marine et M. Léon Daudet, ministre de l'Air...

sur les cartes pédagogiques tunisiennes de Taarit ; sur les publicités Dubonnet de Willette ; 

sur les premiers essais de Bosc ; sur Rébecca Dautremer qui nous a offert une sublime couverture ; et toutes nos rubriques sur les plagiats, la censure, les procès, nos séances CinéBédé et les décès récents. 

Nos correspondants de 28 pays et notre centaine de collaborateurs réguliers ou pas, chercheurs, critiques universitaires, collectionneurs ou simples passionnés font de cette revue un outil incomparable pour tout professionnel ou amateur.

L’abonnement pour 4 numéros par an est de 28 €, mais la collection complète des 60 numéros est vendue à 200 €. 

Le Centre National des Lettres contribue à son financement. La diffusion en librairies est assurée par Makassar, et quelques librairies d’ancien la prennent également. 

Les numéros épuisés sont réimprimés.

La revue est portée par une association éponyme (cotisation 30 € annuels), qui prépare quelques ouvrages patrimoniaux qui leur seront envoyés sans autre frais.