En outre, ils demandent l'élimination de toutes les copies de l'image et des excuses publiques. Je n'ai pas encore trouvé de réponse du magazine.
Le dessin montre Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien poussant un cercueil recouvert du drapeau de l'Autorité nationale palestinienne dans un four.
Le dessin montre Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien poussant un cercueil recouvert du drapeau de l'Autorité nationale palestinienne dans un four.
Sur le mur, on peut lire la devise qui figurait à "l'accueil" au camp d'extermination d'Auschwitz, "Arbeit Macht Frei", "Le travail vous libérera".
Le responsable de Btsalmo, Shai Glick, souligne dans sa lettre que le dessin offense tout le peuple juif et qu'elle est également un déni et minimise l'Holocauste selon la définition officielle de l'antisémitisme de l'Alliance internationale pour la mémoire de l'Holocauste (IHRA) .
Les accusations d'antisémitisme dans les caricatures sont l'une des causes les plus fréquentes de conflits.
En annexe, plus de 140 cas où le dessin est menacé dans différents pays.
*Le 18 novembre 2019, l'administration US a déclaré que les colonies israéliennes ne seraient plus considérées comme illégales, en rupture avec le droit international, la politique américaine depuis 1967 et la position de la plupart des alliés américains.
MISE À JOUR
La Ville de Strasbourg et l’hebdomadaire Courrier international ont « fermement » condamné les dessins antisémites du dessinateur portugais Vasco Gargalo, qui avait reçu le prix du public de « Plumes libres pour la démocratie », lors du Forum mondial de la démocratie, en novembre dernier à Strasbourg.
La Ville et l’hebdomadaire indiquent qu’ils « viennent de découvrir » ces dessins, « et notamment celui caricaturant Benyamin Netanyahou "enterrant" les Palestiniens dans un four crématoire, surmonté de la sinistre inscription d’Auschwitz "Arbeit macht frei"».
Ils condamnent un « amalgame odieux consistant à utiliser la représentation de la Shoah pour illustrer la politique du gouvernement israélien ». « Il va sans dire que si [nous avions] eu connaissance [de ces] productions antisémites, aucun de ces dessins n’aurait fait l’objet d’une publication ou d’une participation à un prix », souligne le communiqué commun. En conséquence, par fidélité « aux valeurs des droits de l’homme et de la démocratie », la Ville de Strasbourg et Courrier International « considèrent aujourd’hui que Vasco Gargalo ne mérite plus de se prévaloir d’un Prix qui promeut ces mêmes valeurs, qu’il a transgressées ».Vasco Gargalo est un caricaturiste régulièrement publié dans des journaux européens. Il a reçu son prix à Strasbourg un dessin rendant hommage à Marielle Franco, élue brésilienne engagée contre le racisme, l’homophobie et les violences policières, assassinée en mars 2018.
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