Sur le site de Cartooning for Peace.
Elle vient tout juste d’être libérée, après près de 8 mois d’emprisonnement.
Le 10 juin dernier, elle avait été condamnée à 6 ans de prison par le tribunal révolutionnaire de la République islamique d’Iran, dont cinq ans pour « insulte au sacré » et un an pour « propagande contre l’État ».
Le 10 juin dernier, elle avait été condamnée à 6 ans de prison par le tribunal révolutionnaire de la République islamique d’Iran, dont cinq ans pour « insulte au sacré » et un an pour « propagande contre l’État ».
Des accusations clairement motivées par son engagement et ses opinions.
Le 10 décembre 2024, son avocat a annoncé sa libération, suite à une décision de la cour d’appel.
Le 10 décembre 2024, son avocat a annoncé sa libération, suite à une décision de la cour d’appel.
Le 9 décembre, une publication sur le compte Instagram de la dessinatrice indiquait qu’Atena Farghadani « a été acquittée de l’accusation d’insulte au sacré, et a été condamnée à 8 mois pour sa caricature sur la disparité des classes. »
Cette nouvelle peine de 8 mois de prison, qui semble avoir été formulée rétroactivement, est liée à un dessin intitulé « Inégalité des classes ».
Cette décision en appel intervient dans un contexte où d’autres figures emprisonnées pour leurs prises de position, comme le rappeur Toomaj Saleh, arrêté en octobre 2022 et dont la condamnation à mort a été annulée en juin 2024 par la cour suprême, et Narges Mohammadi, Prix Nobel de la paix 2023 et incarcérée depuis novembre 2021, ont également vu leur situation évoluer.
Cartooning for Peace se réjouit de la libération d’Atena Farghadani, injustement arrêtée, battue et condamnée à cause de son engagement pour les droits humains et la liberté d’expression, mais rappelle que personne ne devrait être emprisonné pour avoir exprimé ses convictions. Si sa libération est un soulagement, elle souligne aussi la nécessité de continuer à dénoncer les injustices qui sévissent en Iran.
Cette décision en appel intervient dans un contexte où d’autres figures emprisonnées pour leurs prises de position, comme le rappeur Toomaj Saleh, arrêté en octobre 2022 et dont la condamnation à mort a été annulée en juin 2024 par la cour suprême, et Narges Mohammadi, Prix Nobel de la paix 2023 et incarcérée depuis novembre 2021, ont également vu leur situation évoluer.
Cartooning for Peace se réjouit de la libération d’Atena Farghadani, injustement arrêtée, battue et condamnée à cause de son engagement pour les droits humains et la liberté d’expression, mais rappelle que personne ne devrait être emprisonné pour avoir exprimé ses convictions. Si sa libération est un soulagement, elle souligne aussi la nécessité de continuer à dénoncer les injustices qui sévissent en Iran.
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