 |
| Dessin de Judith Lachapelle |
Conférence avec la journaliste de La Presse, Judith Lachapelle et la professeure de l’UQAM, Catherine Saouter, spécialiste en images de guerre.
Biographie des formatrices :
Après 15 ans de journalisme à l’écrit, Judith Lachapelle a décidé un beau jour de raconter ses histoires autrement qu’avec des mots. Elle publiera cet automne un troisième bédéreportage dans La Presse, où elle est journaliste depuis 2001.
Catherine Saouter est professeure à l’UQAM, spécialiste des images, auteure de « Images et sociétés – le progrès, les médias, la guerre » (2003). Ces dernières années, une large part de ses travaux de recherche est consacrée au bédéreportage et au retour du dessin dans les pratiques documentaires.
Description et objectif:
Le bédéreportage apparaît dans les années 80, sans dire son nom, sous les plumes et pinceaux de Art Spiegelmann et Jean Teulé. Il trouve un premier accueil dans le monde de la bande dessinée, puis, ses auteurs, de plus en plus nombreux, rejoignent des publics de plus en plus divers jusqu’à prendre ces dernières années une place de mieux en mieux légitimée dans les mondes de l’information et du documentaire. Le dessin apporte de nombreux avantages dans la livraison de l’information, il instaure un filtre qui stimule la compassion et offre une solution intéressante pour témoigner du réel.
Dans un premier temps, Catherine Saouter exposera l’histoire de cette remarquable trajectoire en livrant les grands repères et les grandes œuvres, tenant compte de l’enjeu majeur au cœur de cette pratique, à savoir une subjectivité assumée au service d’un humanisme revendiqué.
En deuxième partie, Judith Lachapelle exposera sa propre expérience de bédéreporter, de l’idée d’un bédéreportage jusqu’à sa publication, en passant par la scénarisation, le découpage, les mots en trop, les ratures, les taches sur les doigts, les angoisses existentielles et l’importance cruciale du travail d’équipe dans un projet un peu fou.
Où et quand
Le lundi 27 octobre 2014, de 18h30 à 20h30, dans le local de la FPJQ (Réservation obligatoire: 514 522-6142) à Montréal.
Coûts
25$ (membres de la FPJQ) ; 50$ (non membres)
Biographie des formatrices :
Après 15 ans de journalisme à l’écrit, Judith Lachapelle a décidé un beau jour de raconter ses histoires autrement qu’avec des mots. Elle publiera cet automne un troisième bédéreportage dans La Presse, où elle est journaliste depuis 2001.
Catherine Saouter est professeure à l’UQAM, spécialiste des images, auteure de « Images et sociétés – le progrès, les médias, la guerre » (2003). Ces dernières années, une large part de ses travaux de recherche est consacrée au bédéreportage et au retour du dessin dans les pratiques documentaires.
Description et objectif:
Le bédéreportage apparaît dans les années 80, sans dire son nom, sous les plumes et pinceaux de Art Spiegelmann et Jean Teulé. Il trouve un premier accueil dans le monde de la bande dessinée, puis, ses auteurs, de plus en plus nombreux, rejoignent des publics de plus en plus divers jusqu’à prendre ces dernières années une place de mieux en mieux légitimée dans les mondes de l’information et du documentaire. Le dessin apporte de nombreux avantages dans la livraison de l’information, il instaure un filtre qui stimule la compassion et offre une solution intéressante pour témoigner du réel.
Dans un premier temps, Catherine Saouter exposera l’histoire de cette remarquable trajectoire en livrant les grands repères et les grandes œuvres, tenant compte de l’enjeu majeur au cœur de cette pratique, à savoir une subjectivité assumée au service d’un humanisme revendiqué.
En deuxième partie, Judith Lachapelle exposera sa propre expérience de bédéreporter, de l’idée d’un bédéreportage jusqu’à sa publication, en passant par la scénarisation, le découpage, les mots en trop, les ratures, les taches sur les doigts, les angoisses existentielles et l’importance cruciale du travail d’équipe dans un projet un peu fou.
Où et quand
Le lundi 27 octobre 2014, de 18h30 à 20h30, dans le local de la FPJQ (Réservation obligatoire: 514 522-6142) à Montréal.
Coûts
25$ (membres de la FPJQ) ; 50$ (non membres)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire